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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 21:18

 
 

SéminairesComment réinvestir la notion de progrès ?
Séance inaugurale :
Le progrès en question(s),
avec Yvon Quiniou, philosophe

Présentation du séminaire par Alain Obadia, Président de la Fondation

Le mercredi 14 novembre 2012, à 18h30
à la Fondation Gabriel Péri,
11, rue Étienne Marcel
93500 Pantin
(métro « Hoche », ligne 5)
Plan d’accès

L’idée de progrès, entendue dans son sens collectif, vient essentiellement du 18ème siècle avec les grandes conceptions de Kant et de Condorcet, mais aussi, sous une forme paradoxale, de Rousseau. Elle s’y présente comme la croyance forte en un progrès de l’histoire. On la retrouve au 19ème siècle, avec un statut clairement matérialiste et qui n’en nie pas les contradictions chez Marx, mais elle y est aussi contestée par certains comme Nietzsche. Depuis le 20ème siècle, avec ses catastrophes propres, elle est entrée en crise comme si l’histoire ne pouvait plus la justifier (voir Heidegger ou l’écologie fondamentaliste).

Il convient donc d’en préciser clairement la signification, plus complexe que prévue, de distinguer en elle ce qui relève du constat de fait et ce qui relève du jugement de valeur, en la séparant de l’idée d’évolution. Mais il faudra aussi circonscrire ses domaines, éviter toute appréhension globale – car l’histoire peut progresser sous un aspect et régresser sous un autre – et cesser d’y voir un processus inéluctable. C’est pourquoi la politique doit prendre le relais, critiquer la régression libérale actuelle, et reprendre le fil d’une croyance rationnelle au progrès à la lumières de valeurs partagées. Car sans la conviction qu’un progrès est possible, qui relève d’un optimisme de l’intelligence, il ne saurait y avoir de progrès réel, qui relève lui d’un optimisme de la volonté et de l’action qu’il permet.

Entrée libre . Le nombre de places étant limité, nous vous remercions de vous inscrire par mail à l’adresse : inscription@gabrielperi.fr

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 18:34

 
 

Séance du lundi 5 novembre 2012 à 14h30

Dans le cadre du séminaire "Histoires croisées du Communisme italien et français" organisé en collaboration avec la fondation "Istituto Gramsci" de Rome, la dernière séance de l’année 2011-2012, portera sur

Les alliances des partis communistes italien et français dans les années soixante-dix : quelles stratégies ?
Lundi 5 novembre, à 14h30
à la Fondation Gabriel Péri,
11 rue Étienne Marcel à Pantin (93)
métro Hoche
Plan d’accès

Les différentes interventions présenteront des recherches appuyées sur des archives nouvelles avec l’ambition d’éclairer différents aspects de la stratégie nationale et internationale des deux partis communistes.

L’analyse de la stratégie du communisme européen dans la décennie des années soixante-dix est aujourd’hui une question historiographique de première importance pour comprendre l’évolution et la crise des partis communistes européens mais également pour mettre en lumière certains aspects de l’histoire globale du communisme au XXe siècle.

Programme du séminaire :

•Serge Dandé, CHS du XXe siècle, Paris 1 Panthéon-Sorbonne : "Un programme pas si commun. La stratégie d’union de la gauche du Parti communiste français" ;
•Michèle Di Donato, Université de Rome III : "Relations asymétriques dans la gauche européenne : Parti communiste italien et social-démocratie allemande, 1967-1976" ;
•Gregorio Sorgonà, Université de Rome II : "La crise pétrolière dans le débat entre le PCI et le Parti socialiste italien" ;
•Marco Di Maggio, Université de Rome I, fondation Gabriel Péri : "Regards croisés sur l’Union de la gauche et sur le Compromis historique".
Discussion coordonnée par Serge Wolikow, directeur de la MSH de Dijon.

Entrée libre . Le nombre de places étant limité, il est recommandé de s’inscrire par mail à l’adresse : inscription@gabrielperi.fr

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 21:26
Mesdames, Messieurs, Jeunes Elèves,

Je remercie votre municipalité – laissez-moi dire la nôtre – de m’avoir donné, dans cette fête des écoles Laïques, l’occasion de dire une fois de plus que l‘éducation rationnelle et scientifique du peuple est un besoin essentiel, une nécessité vitale de la République. Vous l’avez compris, car ici, par l’accord de vos maîtres et maîtresses, dont le dévouement a été admirable, et d’une municipalité où toutes les forces de la démocratie sont représentées, le nombre des élèves de vos écoles, en quelques années, a triplé.


Cette éducation doit être l’objet d’une sollicitude constante et la communication doit être incessante entre la vie de la nation et la vie de l‘école. L’Enseignement national dans une démocratie n’est pas une forme immobile et figée : ce n’est pas un mécanisme monté une fois pour toutes et qu’on abandonne ensuite à son fonctionnement : l‘éducation est liée à toute l‘éducation politique et sociale, et il faut qu’elle se renouvelle et s‘élargisse à mesure que s‘élargissent et se renouvellent les problèmes.


Déjà, il y a trente-quatre ans, au lendemain des désastres effroyables que le despotisme avait déchaînés sur la patrie, un grand cri s‘éleva de tout le parti républicain : il faut refaire la France. Il faut l‘éclairer. Il faut l‘éduquer !

La tyrannie est fille et mère d’ignorance, ou plutôt elle est l’ignorance même, car en subordonnant toutes les volontés à une seule, en résumant toute la force active de la patrie dans une dynastie ou dans une caste, elle rend inutile, au moins dans la conduite de la chose publique, l’intelligence de tous. Et c’est une loi de la vie qu’un organe inutile languisse et s’atrophie.

Il se peut que, dans des sociétés compliquées, où les intérêts privés sont si variés et si ardents, l’intelligence subsiste, appliquée au maniement de ces intérêts. Et un observateur superficiel ne constaterait point tout d’abord dans une nation serve une diminution de pensée. Mais l’intelligence de tous, exclue du gouvernement de la Cité et de l’administration de la vie nationale, a perdu tout ensemble son plus haut objet et son plus vigoureux ressort. Et dès que survient une crise, elle ne suffit plus à la force des événements. La liberté républicaine, qui donne à tout citoyen le droit et qui lui crée le devoir d’intervenir dans la conduite des affaires publiques, qui l’oblige sans cesse à avoir une opinion et une volonté, est donc un incessant appel à tous les hommes, à la force de la pensée et à la force du vouloir. Elle est donc la grande et universelle éducatrice.

Mais cette éducation par la liberté serait insuffisante, elle investirait les citoyens de droits et de devoirs supérieurs à leurs facultés si la nation ne mettait pas tous les citoyens en état de se reconnaître dans la complication des événements et de dégager de la contrariété des égoïsmes le droit de chacun et l’intérêt de tous.

C’est pourquoi l‘éducation de tous par la liberté républicaine doit être soutenue de l‘éducation de tous par l’Ecole et par l’Ecole de la Nation et de la Raison, par l’Ecole civile et Laïque.


Oui, c’est là ce qu‘à peine sortis du gouffre criaient, il y a trente-quatre ans, les républicains et les patriotes : refaire la France par l‘éducation de tous, éduquer tous les citoyens par la République et par l’Ecole ; la souveraineté agissante pour tous, la lumière pour tous, la responsabilité pour tous. C’est là, pour appliquer à ces jours tourmentés et tragiques la grande image du Dante, le premier appel jeté par les naufragés dès que roulés par les vagues ils abordaient au rivage tout haletants encore et presque suffoqués.

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28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 19:08

 

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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 22:06

TRIOMPHE DE LA CAMPAGNE NEOLIBERALE DE LA PEUR EN GRECE ET EN EUROPE
lundi 9 juillet 2012
par  Mercedes Lopez San Miguel


En Grèce, comme dans d’autres pays d’Europe, ce qui est mis en cause par les indignés ou par la gauche radicale, c’est l’ordre néolibéral dont souffre une majorité de grecs [et européens] sous la forme de réduction de salaires et de retraites. La social-démocratie et les partis conservateurs se sont pliés à ce modèle en appuyant les plans d’austérité, l’ « assainissement » du système auquel se réfère Angela Merkel quand elle utilise cet euphémisme pour se référer à la priorité sur les coupes.

La coalition de gauche radicale grecque, Syriza, a introduit un élément nouveau dans la politique de son pays : elle a proposé de rompre avec le statu quo en se refusant d’accepter les conditions qu’on lui en impose à travers le Fonds Monétaire International et la Banque Centrale Européenne en échange de l’aide multimillionnaire. Le leader de Syriza, Alexis Tsipras, est rapidement devenu la cible préférée des gouvernements européens. Sa coalition de verts bigarée, verts, trotskistes, maoïstes et indépendants a proposé d’archiver le mémorandum signé avec l’Union Européenne qui implique de sévères coupes budgétaires qui devraient être mises en application pendant cinq ans d’ajustements, de récession et de davantage de crise. Syriza a aussi proposé de réformer le système d’imposition pour que les riches paient des impôts et de suspendre le paiement des intérêts de la dette. Ce n’est pas un hasard si Jean Luc Mélenchon, candidat présidentiel du Front de Gauche de la France, a jeté des ponts avec Tsipras. Autre, fut, la posture du flambant neuf président socialiste François Hollande, qui s’est enhardi à prévenir les votants grecs que « si l’impression est donnée que les Grecs veulent s’éloigner des engagements qui ont été pris et abandonner toute perspective de redressement, alors il y aura des pays dans la zone euro qui préféreront en terminer avec la présence de la Grèce dans la zone euro ».

Syrisa comprend que « austérité ou chaos » est un faux dilemme. Mais, précisément depuis l’Union Européenne, la BCE et le FMI on essaye par tous les moyens d’agiter le fantasme de la cessation de paiements et de la sortie de l’euro associé à l’ascension de la gauche. Merkel a lancé un avertissement à peine dissimulé à la veille des élections. « Il est extrêmement important que les élections grecques se terminent avec un résultat par lequel ceux qui se chargent de former un gouvernement disent ‘oui, nous maintiendrons les engagements’ », a dit la chancelière allemande. « Les grecs stocke de l’argent et de la nourriture face à la dérive politique », a titré, en apercevant l’Apocalypse, le quotidien espagnol El País dans son édition du jeudi 14 juin. C’était précisément la stratégie qu’ont utilisée les rivaux de Syrisa, les conservateurs de Nouvelle Démocratie. Son leader, Antonis Samaras, a apporté son soutien aux engagements scellés avec la troika (BCE, FMI, la Commission Européenne), bien que maintenant il nuance sa position après avoir souligné qu’ils négocieraient les conditions imposées en échange des deux sauvetages mis dans le pacte.

Mais le prêt de 240 milliards d’euros n’a pas servi à relancer l’économie [seulement 10% est arrivé jusqu’à Athènes, le reste est allé vers les banques étrangères]. Ainsi le vivent les grecs qui sont restés dans la rue, ceux qui n’ont pas de travail – le chômage a grimpé à 22 % – ceux qui ne touchent pas le salaire. Les seules politiques que dictent les centres économiques de l’Europe sont des ajustements, avec ceux-ci la demande se comprime, l’industrie stagne et la crise augmente. Le Prix Nobel d’Économie Joseph Stiglitz affirme que le sauvetage en Grèce, en Irlande et au Portugal, c’est en réalité « une protection aux banques (Allemandes, Françaises, etc) ». Stiglitz recommande la création d’un « fond solidaire européen » avec lequel on pourrait aider à ce que la Grèce restaure sa croissance. Cela ne semble pas être la solution que les leaders européens envisagent, surtout après le triomphe la campagne de la peur.

Texte paru dans El Correo (www.elcorreo.eu.org). Traduction de Estelle et Carlos Debiasi



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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 13:46

 

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 13:19

 
De l'entreprise, de la propriété et des pouvoirs
par Claude Emmanuel Triomphe - 18 Juin 2012

Les élections législatives se sont jouées en France sur des questions d'abord nationales, alors qu'en Grèce ce fut sur l'Europe et sur l'euro. Dans l'hexagone la gauche est désormais à la tête de toutes les grandes institutions politiques nationales et dans la grande majorité des collectivités territoriales. En Grèce, les élections, si elles permettront peut-être de dégager une coalition majoritaire n'ont pas vraiment éclairci le paysage ni permis de redonner un cap à une société très désorientée. Dans les deux cas, on voit combien aujourd'hui la souveraineté nationale n'a qu'une prise limitée dans un monde très interdépendant où la puissance publique s'est considérablement affaiblie.

 

Nous plaidions il y a peu pour une resocialisation de l'Europe. Cette expression, tirée d'un colloque récemment organisé par une université londonienne, et que soutient Ramón Jáuregui ancien dirigeant socialiste espagnol, cachait une ambition plus grande : celle d'une refondation européenne plus nécessaire que jamais. Les opportunités ouvertes par la crise financière de 2008 ont été gâchées. Le court-termisme politique a été omniprésent. En la matière aucun pays, aucune grande force politique européenne n'a fait réellement exception. En ira-t-il différemment demain ? Autour de l'alternance politique qui vient de se jouer en France, c'est un espoir porté par beaucoup, et ce dans des familles politiques variées.

 

Mais soyons lucides : les compromis entre austérité et croissance, entre souverainetés nationales et européennes sont loin d'avoir été trouvés. On voit mal l'Allemagne parcourir seule le chemin. D'autant que ce que beaucoup appellent de leurs vœux - à savoir un nouveau saut et de nouveaux transferts de souveraineté - se heurtent à l'opposition, ou, pour le moins, au scepticisme généralisé des peuples composant l'Union Européenne. L'abstention aux élections n'a cessé de progresser et ceci interroge au moins autant que la répartition des élus au Parlement. Mais laissons ici les questions politiques du moment pour parler de notre dossier du mois qui revient sur la question de l'entreprise.

 

A qui appartient l'entreprise ?
Il y a près de 14 ans le Conseil National du Patronat Français devenait le Mouvement des Entreprises de France, sans que cela n'émeuve grand monde. Cette captation des entreprises par leurs dirigeants est loin d'être unique en Europe. Mais caractéristique frappante de la période récente, ce sont non plus les dirigeants mais les actionnaires qui détiendraient l'entreprise : partant d'un raisonnement fondé sur le droit de propriété, il nous faudrait assimiler ces derniers aux propriétaires et en tirer toutes les conséquences sur le gouvernement des entreprises. Mais ce qui est évident pour beaucoup ne l'est pas ou ne l'est plus pour d'autres tant les rapports des entreprises - organisations spécifiques que le droit ne reconnait pas - avec la propriété, d'une part, et le pouvoir de l'autre posent de multiples questions.

 

Nombre d'acteurs économiques constatent désormais que la finance est devenue susceptible par son court-termisme de mettre à bas tout ce qui faisait la force et la beauté de l'entrepreneuriat. Quant aux défenseurs du marché, ils voient s'affaiblir dangereusement des puissances publiques, garantes de régulations sans lesquelles les besoins essentiels ne sont plus une priorité mais aussi sans lesquelles les marchés eux-mêmes perdent en légitimité. Plus que les tenants d'une responsabilité sociale de l'entreprise - qui au fil du temps semble n'avoir guère modifié la donne - plus que les contre-pouvoirs classiques que sont par exemple les syndicats, c'est aujourd'hui la crise qui engendre de nouvelles postures.


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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 19:41

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 19:36
La Grande Table (2ème partie)
Syndiquer le contenu par Caroline Broué Le site de l'émission
Emission La Grande Table (2ème partie)

du lundi au vendredi de 12h55 à 13h30

Ecoutez l'émission 34 minutes

Les "Nouveaux Misérables", 150 ans après

27.04.2012 - 12:55 Ajouter à ma liste de lectureRecevoir l'émission sur mon mobile

Dans le cadre de la Journée spéciale de France-Culture,  "Les Nouveaux Misérables, 150 ans après Victor Hugo",

Rencontre avec

Jean MAUREL, philosophe, maître de conférences à l'Université Paris 1, spécialiste de Victor Hugo

Arnaud LASTER, maître de conférences de littérature française à la Sorbonne Nouvelle (Paris 3), Président de la Société des Amis de Victor Hugo

et, au téléphone,

Jean BELLORINI, metteur en scène, pour son adaptation des Misérables de Victor Hugo, Tempête sous un crâne, avec la Compagnie Air de Lune, actuellement en tournée, en  France

 

Nous poursuivrons la réflexion en revenant sur l’œuvre de Victor Hugo, véritable phénomène éditorial au moment de sa sortie en 1862, qui conserve aujourd'hui une aura bien particulière. Ses personnages, Cosette, Jean Valjean, Gavroche, Fantine, Javert ou le Thénardiers sont devenus des icônes… et même entrés dans le langage courant. A tel point qu’ils continuent d’émailler les discours politiques, de l’extrême gauche à l’extrême droite. Récupération douteuse, anachronisme complet ? Ou bien, Victor Hugo continue-t-il à porter la voix des « invisibles » qui ont remplacé les Misérables ? On posera la question à nos invités, le professeur de littérature Arnaud Laster, le philosophe Jean Maurel et au téléphone le metteur en scène, Jean Bellorini.

 

Arnaud LASTER et Jean MAUREL Corinne Amar ©  Radio France

 

Invité(s) :
Jean Maurel, maître de conférences honoraire de philosophie, à Paris 1 Panthéon Sorbonne
Arnaud Laster, maître de conférences de littérature française à la Sorbonne Nouvelle (Paris 3), Président de la Société des Amis de Victor Hugo
Jean Bellorini, metteur en scène

Thème(s) : Arts & Spectacles| Grands Classiques| Littérature Française| Théâtre| les Misérables| Victor Hugo

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 19:34

Bienvenue sur le site de l’association Cuba Coopération dont le but est d’œuvrer au rapprochement entre la France et Cuba


dimanche 6 mai 2012

Le musée « La Route de l’Esclave », Monument Nationale cubain, est une institution culturelle unique pour ses caractéristiques en Amérique Latine.

Un article de Yeni Pèrez traduit par Alain de Cullant paru dans la revue numérique cubaine : Lettres de Cuba N°4 d’avril 2012

Illustration de Eduard Roca Choco

« La Route de l’Esclave »,

 

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Il offre au visiteur un panorama de la situation dans laquelle vivaient les Noirs apportés d’Afrique comme main d’œuvre bon marché.

Situé à l’entrée de la baie de Matanzas dans une ancienne forteresse militaire de la métropole espagnole à Cuba, le château de San Severino raconte l’histoire vivante à travers les couloirs, les geôles et les instruments de torture appliqués aux esclaves qui travaillaient et coexistaient dans cet endroit.

Ce château, devenu gardien d’une partie de notre culture, préserve une longue histoire de son architecture coloniale. En plus de son lien avec l’esclavage, d’illustres patriotes cubains de différentes époques y ont été emprisonnés, tels que Gabriel de la Concepción Valdés (Plácido), Miguel de Teurbe Tolón et le leader estudiantin José Antonio Echeverria.

Lire la suite de l’article : http://www.lettresdecuba.cult.cu/?q...


http://www.lettresdecuba.cult.cu/?q...

Lire également l’excellent article du Monde sur le colloque du Quai Branly à Paris, repris par nos amis de Cuba Si Provence :

http://cubasifranceprovence.over-bl...


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